Jamais je n'ai connu un cochon d'Inde aussi vif, actif et aventurier que toi.
Tu étais libre dans la maison et dans le jardin et il te fallait bien ça pour dépenser toute ton énergie !
Dragueur invétéré, tu montais l'escalier pour rendre visite aux filles dans ma chambre.
Tu as vécu peu mais intensément.
Je t'ai connu bébé avec ta maman, je suis allée te chercher, je t'ai vu grandir et mourir. Beaucoup, beaucoup trop tôt.
Je suis responsable de ta mort et je porterai ce fardeau toute ma vie.
J'espère que tu es heureux là où tu es. Je te demande pardon et j'attends de te rejoindre pour te faire comprendre à quel point je t'aimais.
A un de ces jours mon Buzzy Cornichon.
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